La demeure des cris

Je venais d’arriver sur l’île, après avoir questionné quelques passants je fini par trouver la demeure qu’on m'avais donner pour exercer mes fonctions. Grande maison en pierre, un peu défraîchi mais toutefois très charmante. Au premier étage il y avait mon cabinet avec la sale d’opération et au 2e mes cartiers personnels.

J’ai hâte de rencontré mes premiers patients même si... je sais que je n’oserai pas familiariser avec ceux-ci...

* Je crois que je vais me plaire ici, surtout que personne ne me connais réellement.*

Soudain deux hommes dont l’un qui avait la tête en sang entrât dans la maison du médecin.

"Docteur ! Docteur ! Ah vous tombez bien, on a eu des problèmes, mon ami à besoin de vos soins. Dépêchez vous je crois que c'est grave." Dit le premier homme pendant que le second titubé et se tenait la tête d'où le sang coulait à flot.

* Mon Dieu Seigneur, je ne m'attendais pas à voir quelqu'un aussi vite*

-Installez le sur la table dans la sale au bout du corridor, j'arrive dans un instant.

La coupure était profonde et saignait abondamment. Je devrais lui recoudre celle-ci.

-L'incident s'est produit quand?

-Il y a quelques instants.

-Je vais devoir le recoudre, je vais chercher mon matériel. Basculez lui la tête en arrière et pressez fortement avec ce linge.

-Mais....mais....

L'homme n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que j'étais déjà partie. Étrangement Tasia le docteur était beaucoup moin gêner que Tasia la fille de tous les jours. Tasia la docteur avait eu le courage de donner des ordres à un homme, l'autre Tasia aurait eu du mal à lui parler.

-Avez vous un couteau avec vous?

-Oui, mais pourquoi voulez vous un couteau?

-Mettez lui dans la bouche, s'il se mord la langue nous aurons deux fois plus de problème. Pendant que je recourai vous le tiendrez bien en place et vous assurerez qu'il aie toujours le couteau dans la bouche.

Je déversai de l'alcool sur sa plaie. L'homme à moitié contient émit un faible cri. Le sang coulant à flot n'aidait en rien à voir plus clair. Après environ 20 minutes la coupure était recousu et le sang avait arrêter de couler.

-Si l'infection ne se mêle pas de la partie je pourrai le sauver. Vous pouvez repartir, je vais le garder jusqu'à ce qu'il sois sur pied.

"Oh merci docteur !" Dit l'homme "Combien est ce qu'on vous doit ? Ah nous deux on devrait pouvoir vous payer."

L'homme cherchât quelque pièce dans ses poches et sortie trois pièces d'or.

"C'est ce qu'il me reste, mais si ce n'est pas assez mon ami devrai avoir le compte !"

* J'espere qu'il parle français sinon j'aurai du mal a savoir s'il prend du mieu...*

Je pris les 3 pièces et j'allai les déposer dans un petit pot sur la table de cuisine. Je repensai à ce qu'il m'avait dit : vous serez gâté côté boulot... Pour ne pas être pris au dépourvue comme tout à l'heure je préparai 3 lits et installa tous mes instruments dans la sale d'opération.

Cette nuit je la passerai au chevet de Friedrich: c'est souvent dnas les premiers jours qu'on voit l'infection apparaître et si celle-ci n'est pas pris au sérieux elle donne la mort.

Une heure après son premier patient quatre individus entrèrent dans la demeure avec une forte odeur d'alcool. L'un hurlait à la mort et saignait abondement au niveau de l'abdomen, un autre avait le bras sévèrement entaillé, le troisième portait le quatrième dans ses bras, ce dernier semblait être tombé dans le comma, il avait de grave marque de coup d'épée au visage.

"Aidez nous ! Aidez nous !" Hurlât le troisième. "S'il vous plait faite quelque chose !"

* Moi qui voulais me coucher... cela va attendre je crois bien...*

Je demandai au3e de venir m'aider à les transporter dans les lits, il était le seul à n'être pas sous les effets de l'alcool.

-Mettez moi celui qui à des blessures au niveau de l'abdomen sur la table, celui dans le coma dans un lit et l'autre avec une blessure au bras vous me le calmer.

-Oui mademoiselle

J'eue bien tenté de faire cesser le sang mais il était déjà trop tard l'homme à la blessure au ventre était mort au bout de son sang. L'autre à la blessure au bras fut plus dur a calmer qu'à recoudre: celui-ci avait peur des aiguilles et de son propre sang.

-Maintenant celui dans le coma.... Savez vous s'il à reçu un coup sur la tête ou est-ce les effets de l'alcool

- L'alcool

-Bon, je peux m'en occuper toute seul.

-D'accord , alors j'y vais moi, Bon soir

-Mais .... Qui va me pailler et qui va prendre le corps... ???

Le cadavre était devenu mon plus petit problème, l'homme qui venant de s'éffondrer devant moi était un cas beaucoup plus urgent. De peine et de misère je réussie à le traîner dans la sale de bain pour enfin le mettre dans le bain. Je fit couler l'eau la plus froid possible pour faire diminuer ses spasmes. À deux main je devais le garder le plus immobile possible tellement il était fort.Puis tout à coup ,plus rien ,l'homme cessa de bouger. À bout de force je n'avais pas encore terminer avec lui je devais maintenant l'amener dans son lit. Après l'avoir mit dans son lit, je fit un dernier tour pour voir si tout mes patient allaient bien.

Quelques points de soudure sur le visage de l'home s'étaient défait. Ce fut très facile à reprendre, l'homme ne bougeait même pas. Un peu d'alcool pour finir le tout et il était près pour la nuit.

L'autre homme était brûlant, je lui épongé le visage. Puis il se remit à avoir des spasmes. C'est à ce moment que je compris que cet homme avait consommé plus que de l'alcool... J'étais submergée par la situation, la meilleur chose à faire était de le remettre dans le bain. Une nuit blanche m'attendais....

L'eau du bain était plus à l'extérieur qu'à l'intérieur tellement l'homme gigotait. Il était complètement parti dans son monde de divagation, tantôt il avait peur de moi et ne voulait que je l'approche et tantôt il voulait me marier. Mais le plus étrange était qu'il n'arrêtait pas de me parler d'un bateau qui voyageait vers le soleil. De peine et de misère je réussie à lui faire avaler un sirop à base de fleur de lilas, ceci le calmera pour 2-3 heures.

* Je vais devoir bientôt aller en ville je n'ai presque plus d'alcool et cet homme m'inquiète : ses symptômes ne sont pas ceux d'une simple monté de fièvre....*

- Du calme bonhomme, si vous vous agitez trop vous allez encore vous blesser.

-Qu'est ce qui s'est passé? Je me souvient avoir été à la taverne et il y avait beaucoup de gens et.... le reste est flou dans ma mémoire.

-Vous êtes arrivés chez moi hier tard dans la soirée, votre ami vous à tous amener ici, puis soudainement il a eu de violentes convulsions, celle-ci se sont calmé. Je suis désolée pour votre autre ami, quand il est arrivé ici il avait déjà perdu trop de sang. Ne bougez pas trop vous risquez de vous faire encore mal. Je vais voir un autre de mes patient et je reviens après, nous pourrons alors continuer notre conversation.

Je me dirigeai vers la petite sale au fond, Friedrich n'avait pas bougé depuis la dernière fois. Ses blessures avaient commencé légèrement à cicatriser et son visage avait repris sa couleur normale.

J'étais dans la chambre de Friedrich quand j'entendis le son des voix des hommes. Ma première pensé fut que l'homme dans la baignoire était reparti dans ses divagations, mais quand j'entendis le son d'un autre voix je fut un peu surprise. Mais bon, le plus important était que mes hommes se remettaient tranquillement sur pied. J'allai dans la sale de bain, l'homme était resté couché dans la baignoire même s'il était réveiller.
-Pourquoi rester vous dans la baignoire?

-J'ai encore la tête qui tourne

-Bon , d'accord on va vous transporter quand même dans un lit sinon vous aller prendre froid. À 3 vous aller vous lever avec mon aide. 1.........2...........3.......... OK parfait!
Bon on va aller très lentement pour pas que vous tombiez.

Rendu dans la chambre, je le couchai sur un lit et lui tendis une chemise de lin sèche.

-Quand je vous est mis dans l'eau je n'ai pas eu le temps de vous dévêtir. Mettez cette chemise. Avez-vous besoin d'aide pour vêtir celle-ci?

-eeeee..... oui........ si cela ne vous dérange pas........

Je fis mon travail en l'aidant à se dévêtir et à mettre l'autre chemise.

-Dormez bien, demain nous parlerons de tous cela. Bonne nuit

L'homme regarda son ami l'air paniqué.

-Que lui a tu dis, elle sait tous c'est certain! Nous sommes condamner par ta faute!

-Tu te fais de fausses idées, elle veut simplement te poser quelques questions sur ta vie et la soirée. Regarde la , pense-tu vraiment qu'elle a une idée de ce que nous avons fait?

D'un geste l'homme sortit son pistolet de sa ceinture et le pointât vers Tasia.

"Vous êtes bien placé pour savoir quelles sont les dégâts d'un pistole madame, alors... combien vous doit on ?"

"Arréte tu es fou !" intervint son compagnon.

"Laisse !"

"Mais..."

"Bon, docteur, quel est votre prix ?"